L'enfant et l'adulte surdoué
Pourquoi une page spécialement dédiée aux Hauts Potentiels...? A vrai dire, il faudrait que je développe quasi un site complet concernant les Hauts Potentiels...
Ici, je développe qu'une infime couche de cette galasxie...et ce tout simplement parce que dès mon enfance j'ai été décelé et puis "étiqueté" haut potentiel...avec tous les avantages et surtout les inconvénients liés à cet état d'être.
Le coaching et/ou l'accompagnement thérapeutique comporte des phases particulières qu'il ne nous (praticiens de la relation d'aide) faut pas ignorer. Le premier travail que nous devrions aborder consiste à aider le surdoué à nommer sa différence, mais aussi développer sa personnalité profonde et ce pour éviter un état d'aboulie, dépressif, une amertume voire de l'aigreur.
Donc l'accompagnement de ces personnes est TRES particulier car, de par mon expérience et dans ma pratique (y compris la littérature, les études cliniques,...) il en ressort que tous :
En plus de cela, la personne est le siège d'un dilemme constant :
se faire remarquer en exposant ses idées ou se taire et se fondre dans la masse.
Ce serait une gageure que de vouloir synthétiser un accompagnement pour haut potentiel. Ce que je désire faire comprendre, ici, c'est que si un enfant ou un adulte a été "dépisté" en tant que surdoué, il faut qu'il accepte:
Rien qu'avec ces quelques points, nous pouvons constater la difficulté que peut éprouver un HP dans les processus de communication. De manière générale, depuis son enfance, l'adulte mentalement sur-efficient comprend mal les reproches qu'on lui adresse et ce qu'on attend de lui. Il se sent isolé, anormal...et de fait ceci devient source de souffrance.
Voici un échange qui représente bien la difficulté rencontrée par les HP
Votre message : Bonjour,
Si je peux me permettre, la difficulté n'est pas simplement d'être "détecté" surdoué mais aussi de savoir depuis toujours que l'on
est surdoué sans avoir eu besoin de passer les tests. Et de se confronter à des discours de psy du type "vous n'êtes pas surdouée,
vous êtes juste dans la croyance".
Ma réponse :
A priori, je comprends le point du psy sur la croyance. Nonobstant, il existe des professionnels et des associations qui peuvent
déterminer si la personne appartient au groupe des HP et ce sans devoir passer la panoplies de 3 tests voire 5.
Etre "surdoué" ne rime pas qu'avec un QI important, cela implique toute une série de caractéristiques intrinsèques tout comme
avoir les yeux bleus. Si toutefois vous pensez être HP recoupez votre croyance avec de la littérature sur le sujet afin d'intégrer le tout...
voire trouvez quelqu'un qui pourra cerner ou non les dites caractéristiques.
De plus votre message, prouve bien mon point de vue que l'accompagnement de ce groupe demande une attention toute particulière.
Ici, je développe qu'une infime couche de cette galasxie...et ce tout simplement parce que dès mon enfance j'ai été décelé et puis "étiqueté" haut potentiel...avec tous les avantages et surtout les inconvénients liés à cet état d'être.
Le coaching et/ou l'accompagnement thérapeutique comporte des phases particulières qu'il ne nous (praticiens de la relation d'aide) faut pas ignorer. Le premier travail que nous devrions aborder consiste à aider le surdoué à nommer sa différence, mais aussi développer sa personnalité profonde et ce pour éviter un état d'aboulie, dépressif, une amertume voire de l'aigreur.
Donc l'accompagnement de ces personnes est TRES particulier car, de par mon expérience et dans ma pratique (y compris la littérature, les études cliniques,...) il en ressort que tous :
- ont un déficit de confiance en soi
- ressentent une certaine frustration par rapport à leur(s) aspiration(s)
- sont "victimes" de leur différence...
En plus de cela, la personne est le siège d'un dilemme constant :
se faire remarquer en exposant ses idées ou se taire et se fondre dans la masse.
Ce serait une gageure que de vouloir synthétiser un accompagnement pour haut potentiel. Ce que je désire faire comprendre, ici, c'est que si un enfant ou un adulte a été "dépisté" en tant que surdoué, il faut qu'il accepte:
- cet état d'être, cette différence (et en général, ce sont les derniers à soupçonner leurs aptitudes) ;
- d'être le siège dune intensité des émotions et de leurs expressions et d'une hypersensibilité ;
- ...
Rien qu'avec ces quelques points, nous pouvons constater la difficulté que peut éprouver un HP dans les processus de communication. De manière générale, depuis son enfance, l'adulte mentalement sur-efficient comprend mal les reproches qu'on lui adresse et ce qu'on attend de lui. Il se sent isolé, anormal...et de fait ceci devient source de souffrance.
Voici un échange qui représente bien la difficulté rencontrée par les HP
Votre message : Bonjour,
Si je peux me permettre, la difficulté n'est pas simplement d'être "détecté" surdoué mais aussi de savoir depuis toujours que l'on
est surdoué sans avoir eu besoin de passer les tests. Et de se confronter à des discours de psy du type "vous n'êtes pas surdouée,
vous êtes juste dans la croyance".
Ma réponse :
A priori, je comprends le point du psy sur la croyance. Nonobstant, il existe des professionnels et des associations qui peuvent
déterminer si la personne appartient au groupe des HP et ce sans devoir passer la panoplies de 3 tests voire 5.
Etre "surdoué" ne rime pas qu'avec un QI important, cela implique toute une série de caractéristiques intrinsèques tout comme
avoir les yeux bleus. Si toutefois vous pensez être HP recoupez votre croyance avec de la littérature sur le sujet afin d'intégrer le tout...
voire trouvez quelqu'un qui pourra cerner ou non les dites caractéristiques.
De plus votre message, prouve bien mon point de vue que l'accompagnement de ce groupe demande une attention toute particulière.