les fondamentaux de l'approche
Vivre le coaching, c'est accepter de changer d'angle de vision...
Voici une des pierres angulaires dans ma pratique... Celle-ci a trouvé son origine dans ce que l'on nomme la créativité quantique...approche reliant tous les possibles que cela soit pas déstructuration, antithèse, simultanéité...
Pour penser le coaching, penser autre chose que le coaching :
Sortir des ornières du monde du coaching demande de prendre de l'altitude afin de se défaire des scories normatives et des réflexes plavoviens encourus... Penser A pour développer B et/ou pour prouver que A est B...autrement dit thinking outside the box ! Actuellement, le coaching est toujours empreint de son origine sportive. De fait, une majorité d'auteurs reste encore focalisée sur le concept de « relation » alors que le coach sportif s'occupe plus de « l'interaction » que de la dite relation. Peu d'auteurs font la différence entre ces deux notions pourtant radicalement différentes. |
Dans le sport, il y a certes le coach, il y a le sportif lui-même, les autres (compétiteurs, les sponsors, la famille, les supporteurs,...) mais surtout un dernier protagoniste oublié du coaching en entreprise, que nous le nommons« les machins-choses » :
Dans le sport, le coaché est certes en relation avec quelque chose ou quelqu'un, mais il travaille la qualité et la maîtrise de l'interaction constante qui existe entre lui, les autres et le monde. De la qualité de l'interaction naît la qualité de la relation et non l'inverse !
Le coaching qu'il soit en entreprise ou personnel s'est très vite replié sur ce qu'il connaît et maîtrise le mieux : la relation. Or le coach sportif travaille moins sur la relation que sur l'interaction. C'est ici que nous avons notre valeur ajoutée et que, de fait, nous nous séparons de nos confrères pour qui la relation semble être le fondement théorique d'un coaching et c'est notamment par cette constatation que nous avons développé le coaching thérapeutique en entreprise.
C'est notamment parce que nous « travaillons à bien penser » les questions posées par nos clients que nous sommes en capacité de les accompagner avec précision, rigueur, rapidité et efficacité. Et dans le doute ou dans l'existence d'un écueil bloquant, nous faisons appel à notre communauté de pratique.
- Pour le cycliste, il s'agit de la route (bitume, pavés), du soleil, du vent, de la pente, de la foule...
- Pour le judoka, il s'agit du tatami, de l'humidité, du bruit, du kimono (texture), des flashs (lumière)...
- Pour le golfeur, il s'agit du club, de l'humidité, du vent, de la pente, du soleil, de la chaleur/du froid...
Dans le sport, le coaché est certes en relation avec quelque chose ou quelqu'un, mais il travaille la qualité et la maîtrise de l'interaction constante qui existe entre lui, les autres et le monde. De la qualité de l'interaction naît la qualité de la relation et non l'inverse !
Le coaching qu'il soit en entreprise ou personnel s'est très vite replié sur ce qu'il connaît et maîtrise le mieux : la relation. Or le coach sportif travaille moins sur la relation que sur l'interaction. C'est ici que nous avons notre valeur ajoutée et que, de fait, nous nous séparons de nos confrères pour qui la relation semble être le fondement théorique d'un coaching et c'est notamment par cette constatation que nous avons développé le coaching thérapeutique en entreprise.
C'est notamment parce que nous « travaillons à bien penser » les questions posées par nos clients que nous sommes en capacité de les accompagner avec précision, rigueur, rapidité et efficacité. Et dans le doute ou dans l'existence d'un écueil bloquant, nous faisons appel à notre communauté de pratique.